Les trois activités physiques les plus fréquemment citées, pour favoriser les garçons, sont le football, les activités athlétiques et le basket-ball: « Le football et le basket [favorisent] plutôt les garçons » ; « Endurance, pour les garçons, c’est encore plus facile ».
Ainsi, les sports ayant un volet artistique viennent tous avec une étiquette de « féminité »: nage synchronisée, patinage artistique, gymnastique artistique, plongeon, danse, cheerleading...c'est rare qu'on pense aux garçons en premier, puisque la grâce et l'élégance sont par tradition plus souvent associées aux femmes. » Pourtant, la gymnastique est aussi une discipline de force et de puissance. Tout a changé en 1998, quand Alexandre Despatie est devenu le plus jeune médaillé de l'histoire des Jeux du Commonwealth.La gymnastique n'est absolument pas un sport de filles. C'est un stéréotype instauré au Québec en raison de la victoire de Nadia Comaneci aux JO de Montréal en 1976.Depuis, les gens se disent que c'est un sport majoritairement féminin. Pourtant, ce sont presque deux sports distincts. Les hommes compétitionnent sur six appareils (arçons, anneaux, saut, barres parallèles, barre fixe et sol sans musique ni danse) et les femmes sur quatre appareils (saut, barres asymétriques, poutre, sol avec musique et danse). Les engins féminins requièrent davantage de souplesse et d'équilibre, alors que les masculins exigent plus de force et de puissance. Ces deux sports sont magnifiques à regarder, mais ils peuvent difficilement être comparés.
Ce préjugé est le préjugé le plus courant que l’on puisse connaître. Le plus souvent quand on voit une femme à la salle de sports on se dit qu’elle est là pour mincir ou pour travailler son fessier pour plaire au hommes. Ce préjugé est bien évidement faux on peut vouloir mincir ou travailler son fessier car on est mal dans sa peau ou encore pour nous plaire à nous-même ou bien que l'on aime le sport.
Il convient aussi de rappeler que tous les sports ont longtemps été une chasse gardée pour les hommes. En 1896, lorsque Pierre de Coubertin a relancé le mouvement olympique, aucune épreuve féminine n'était au programme. Le seul rôle réservé aux femmes consistait à remettre des couronnes en feuilles de vigne aux gagnants. Suzanne Laberge, professeure et responsable du Laboratoire de sociologie du sport et de promotion de l'activité physique à l'Université de Montréal dit que :« Durant notre expérience de vie, si un genre est absent d'une pratique sportive, on fait inévitablement des liens dans notre tête. À l'inverse, un sport comme la natation est assez unisexe, parce qu'il y a autant d'hommes que de femmes qui le pratiquent. » Les activités considérées comme plus appropriées aux filles sont la danse, la gymnastique, le patinage artistique, l’aérobic ou autres activités esthétiques et de non contact. On peut donc dire que un sport que pour ‘‘ les filles ’’ n’existes pas et que c’est à cause des idées reçus que l’on catégorise certains sports. Je donne l’exemple de la dance qui est vu comme un sport de fille car c’est gracieux, tout dans la finesse et l’élégance c’est pour cela que l’on pense que c’est un sport de fille.
Ce préjugé est aussi beaucoup entendu car dès que l’on pense à une fille on se dit qu’elle est toute douce et très ‘‘girly’’ et qu’elles ne pourraient pas faire de sports de ‘‘ brute ’’ par peur de se casser un ongle. C’est souvent bien le contraire ce n'est pas parce que les films à la télé représentent des filles comme des princesses qui ont peur de se faire mal ou de se casser un ongle que toutes les filles sont comme cela la plupart du temps beaucoup de filles préfèrent les sports dit ‘‘ masculins ’’.
Les filles qui font un sport masculin sont "toutes des garçons manqués" ou des "lesbiennes"! Elles reçoivent beaucoup d'injures et d'insultes ainsi que des menaces ce qui les poussent quelques fois à arrêter le sport.
Camile Martyn, Marine Ombry et Justine André